Les femmes trentenaires ne trouvent plus chaussure à leur pied

J’ai plusieurs femmes trentenaires célibataires qui n’arrivent pas à trouver quelqu’un qui leur convient.

Elles sont jolies, sympas, et intelligentes. Elles manquent seulement d’un bon sens de l’orientation, comme toutes les femmes… 😉

Elles vivent à Paris où existe une grande concentration de célibataires. On pourrait alors penser qu’il serait plus facile pour elles de trouver la « bonne personne ».

Ce qui n’est pas le cas…

Vous pouvez visionner la vidéo ou lire l’article.

Il y a des liens vers des articles qui pourraient vous intéresser au sein du texte, jetez-y un coup d’oeil, même si vous préférez regarder la vidéo.

Il y a beaucoup de poissons dans la mer

Ne pas trouver la bonne personne alors que l’on a accès à un grand nombre de célibataires me rappelle un épisode de la série How I met your mother (épisode S01E07). Ted refuse de faire appel à une agence de rencontre car, comme il dit : « Nous sommes à New York, il y a beaucoup de poissons dans la mer ».

Voici un extrait du dialogue entre Ted et Ellen, la responsable de l’agence de rencontre :

Ellen: Donnez-moi trois jours et je trouverai la femme de votre vie.

Ted: Ah, non merci. Je n’ai pas besoin d’un algorithme pour rencontrer une femme. Nous sommes à New York. Vous savez, il y a beaucoup de poissons dans la mer.

Ellen: beaucoup de poissons dans la mer ? Oui, il y a 9 millions d’habitants à New York dont 4,5 millions de femmes. Bien entendu, vous souhaitez rencontrer quelqu’un qui a à peu près votre âge, plus ou moins 5 ans. Si on prend le dernier recensement, cela vous laisse 482 000 femmes. Mais, attendez… 48% de celles-ci sont déjà dans une relation, et vous devez aussi en éliminer un grand nombre pour des raisons d’incompatibilité d’humour ou d’intelligence. Et puis vous devez aussi enlever les ex et la famille proche et éloignée. Oh… on ne peut pas non plus compter les lesbiennes. En fait, il ne vous reste plus que 8 femmes potentielles.

Ted: Ce n’est pas possible. 8 femmes ? Vraiment, 8 ?

Ellen: Oui, Il y a 8 poissons dans ce grand océan bleu, Ted. Et si vous pensez pouvoir en attraper un et le mettre dans votre bateau sans moi, vous êtes libre de quitter ce bureau.

Ted: Vous prenez les cartes de crédit ?  🙂

Est-ce que les femmes trentenaires sont trop exigeantes ?

C’est la première idée qui vient à l’esprit. Mais qu’elle soit vraie ou fausse, cela ne change rien au problème.

Le niveau d’exigence d’un individu, homme ou femme, lui est personnel et ne devrait pas être décidé par quelqu’un d’autre.

Alors oui, quand on est dans la vingtaine, on est plus instinctif et probablement moins exigeant. On tente des histoires, on tombe amoureux plus facilement, et on fait moins de calcul.

Avec le temps, on apprend à se connaître, on se construit et on sait ce qu’on veut ou au moins, ce qu’on ne veut pas.

Dans la trentaine, on a donc une idée plus précise et moins naïve (en théorie) de ce que l’on souhaite en terme de couple.

Ce qui parait étrange,  c’est qu’au lieu d’abaisser notre niveau d’exigence, on l’élève.

Alors qu’avec le temps, on a compris que la personne parfaite n’existe pas et qu’il faut faire des concessions sur la liste des qualités idéales de notre partenaire.

Vous allez penser que je préconise d’être moins exigeant, mais ce n’est pas le cas. Comme je l’expliquais, l’exigence est personnelle. Et je préfère voir quelqu’un d’heureux et célibataire que malheureux en couple.

Quand on a trop de choix, on ne peut plus choisir

Les sites de rencontre ont eu un impact déterminant sur nos habitudes et sur nos attentes.

Habituer une femme à mettre des hommes dans son panier (adopteunmec.com) peut lui laisser croire qu’elle fait du shopping et trouvera plus facilement la perle rare, ce qui est faux.

Les sites de rencontre ont permis de trouver et sortir plus facilement avec quelqu’un mais pas de mieux réussir son histoire d’Amour.

Le grand nombre de choix nous laisse penser que si on ne tente pas notre histoire avec Eric, on pourra toujours se rabattre sur Paul ou Roberto.

A la fin, on ne sait plus lequel choisir, et le jour où on se décide sur Eric, et bien pas de chance : Eric en a choisi une autre !

Ou alors, Eric s’est dit que tant qu’il continuait à choper sur le site de rencontre, autant continuer et s’amuser. Il n’est pas pressé Eric, il n’a pas d’horloge biologique qui le titille.

Savoir que si ça ne marche pas avec un homme, on en trouvera un autre rapidement sur un site, nous incite à ne jamais nous satisfaire de ce que l’on a.

 Et sortir avec quelqu’un est facile mais le garder est une autre paire de manches.

Accepter les imperfections

Nous avons tous des qualités, défauts et exigences. Si on pense trouver et garder quelqu’un sans accepter les imperfections de l’autre, on se trompe. C’est bien sûr valable pour les deux sexes.

Une spécial dédicace à Meetic dans sa campagne de publicité 2015. Celle-ci arbore le slogan « Vous n’aimez pas vos imperfections ? Quelqu’un les aimera pour vous ».

Elle vient dans la continuité de leur campagne 2014 qui était : « Vous êtes vous et les gens n’attendent que vous ». Le message était alors de ne pas se prendre au sérieux, assumer qui on est, avec ses (petits) défauts et ses (grandes) qualités.

Ce problème d’acceptation de l’autre concerne autant nos relations amoureuses qu’amicales.

On ne peut rien construire de durable si on n’accepte pas les imperfections de notre partenaire. Il pourra toujours faire des efforts, mais il ne changera pas du tout au tout.

Bien entendu, il y a des choses que l’on ne devrait pas accepter. Voici une liste non exhaustive : le manque de volonté, l’égoïsme, le manque de sincérité et la mauvaise foi.

De la même manière, quand on rencontre un partenaire potentiel, on joue souvent le jeu de quelqu’un qu’on n’est pas.

Cela va fonctionner pendant une semaine, un mois, ou 6 mois mais à un moment donné, l’autre commence à nous connaître vraiment et s’apercevra que cela ne peut pas coller.

Se faire passer pour quelqu’un qu’on n’est pas en début de relation nous pénalise sur le long terme. Autant être cash et annoncer la couleur, c’est à dire montrer nos défauts afin de les faire accepter.

Car on doit bien sûr accepter les défauts des autres mais aussi faire accepter ses propres défauts.

Est-ce que les hommes ne veulent plus s’engager ?

Alors, est-ce que le problème se situe du côté des hommes ?

Ce serait un peu facile de généraliser et dire que les hommes ne veulent pas s’engager dans une relation.

Je ne pense pas que les hommes dérogent à la règle : même s’ils s’amusent bien en célibataire, ils auront envie de se mettre en couple, d’aimer et être aimés.

J’ai évoqué le sujet du célibat avec des copines trentenaires. Elle regrettaient que les hommes ne sachent pas ce qu’ils veulent rapidement.

Pour elles, il fallait que cela avance vite. Quand on est une femme trentenaire, et si on souhaite fonder une famille, on est plus pressé qu’un homme trentenaire.

Mais cette pression, elle est ressentie, consciemment ou inconsciemment par l’homme.

Les débuts de relations sont des moments fragiles où on se séduit, où on cherche à se connaître mais aussi où on cherche à deviner quel est l’objectif de la personne que l’on a en face de nous.

Souhaite -t- il une relation légère ou une relation stable ? Que pense -t- il ? Veut-il faire (un bout de) sa vie avec moi ? Veut-il des enfants, fonder une famille ou plutôt se casser à l’étranger d’ici un an et me laisser au bord de la route la veille des vacances ?

Une histoire met du temps à se construire et chacun à sa vitesse de croisière. Il y a ceux qui mettent le turbo en marche rapidement et ceux qui ont besoin de temps.

Si un homme (ou une femme) a besoin de temps et que vous le pressez, il va se rétracter, même s’il est intéressé.

Un début de relation doit avancer à une vitesse commune pour les deux partenaires et non pas être imposée, sans quoi cela ne fonctionnera pas.

Je suis persuadé que les meilleures histoires se concrétisent lorsque l’on est serein et en paix avec soi-même.

Lorsque l’on ne joue pas un jeu mais cartes sur table.

Lorsque l’on est sincère dans notre approche et que l’on est prêt à accepter de montrer qui on est et ce que l’on souhaite dans notre vie.

Conclusion

J’ai intentionnellement parlé des femmes trentenaires dans cet article car ce sont elles qui semblent être le plus affectées par leur statut de célibataire.

Mais le fait de ne pas trouver chaussure à son pied se vérifie également du côté des hommes, même si les raisons et leur ressenti peuvent être différents.

Les hommes dans mon entourage n’en parlent pas. Cela ne signifie pas qu’ils le vivent bien.

Ils ont plus de mal à en parler et à se dévoiler. Vous connaissez les hommes, il faut parfois leur sortir les vers du nez afin de les faire avouer ce qu’ils pensent 😉

Ce que l’on peut dire en revanche, c’est qu’être célibataire n’a jamais été vu d’un bon oeil par notre entourage.

Il y a la pression sociale et familiale de nos proches et amis qui nous demandent de leur présenter un petit copain ou une petite copine. Une fois que c’est fait, on nous demande « alors, c’est pour quand le bébé ? ».

Le célibat est un problème à cause de cette pression.

Mon conseil, c’est d’arrêter de vous mettre de la pression sur vous et votre futur petit ami.

Vous pourriez être également intéressé par les articles : 8 avantages à être célibataire et Comment faire s’engager un homme.

N’hésitez pas à donner votre avis en commentaire de cet article. Merci.

Sandrino

A propos de l'auteur

Sandrino Mancinelli est coach certifié, spécialiste du développement personnel et des relations amoureuses depuis plus de 10 ans.

Il est l'auteur du livre "Rupture amoureuse - le début d'une nouvelle vie" ainsi que des coffrets de cartes : "la petite boite pour attirer l'amour à soi" et "la petite boite pour les mamans fantastiques". 

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  • Salut Sandrino! Je constate également ce problème des trentenaires qui peinent à trouver l’âme soeur. À mon avis il y a 2 problèmes que tu soulèves plus ou moins.

    1) Trop de choix mais pas de la bonne manière

    Internet c’est cool, mais c’est froid. Il y a des choses qui se passent que l’on ne peut pas vivre à travers un écran. Et rencontrer via internet à un gros problème selon moi: on reste dans une zone de confort.

    Là où la rue nous pousse à devoir dépasser son anxiété pour approcher une personne. Ou est le rapport?

    Une personne qui n’arrive pas à dépasser une anxiété lors d’une rencontre, aura probablement de la peine à causer d’un problème lorsqu’elle sera en couple. Et la communication fait vivre le couple. Surtout quand la communication est pénible.

    2) On pense trop comme les autres

    Si ça ne fonctionne pas jusqu’ici, il faut changer. QUoi? Je ne peux pas en parler car je n’ai pas une personne devant moi, mais si vous n’avez pas trouver l’âme soeur sur meetic, alors essayer le bar en bas de chez vous. Si le bar ne fonctionne pas, tenter un cours de Yoga. Bref tester un truc.

    Pour ma part la rue a toujours très bien fonctionné et si je devais me retrouver célibataire, je commencerai par là.

    Enjoy et merci pour cet article qui met le doigt sur un problème de société 😉

    • Bonjour Julien,

      merci pour ton commenntaire 🙂

      En fait, les copines dont je parle sortent souvent et rencontrent pas mal de gars dans « la vraie vie ». La situation est plus axée sur l’incompatibilités de profil, synchronicité de futur, ou niveau d’exigences.

      A bientôt !

      • Salut Sandrino,

        Ton article est intéressant bien que je ne sois pas réellement concerné par le sujet du haut de mes 22 ans.

        Je suis mitigé, le fait d’accepter les imperfections veut donc dire qu’en effet, l’on baisse ses exigences. Après, il faudrait voir qu’elles sont les types d’imperfections et leur importance.

        C’est encore mon âge qui parle, mais je pense que plus on est exigeant et mieux sera la future relation. C’est comme un travail, il me semble mieux d’être 2 ans au chômage et de serrer les dents pour trouver le métier de ses rêves que prendre le premier venu avec ses imperfections et y rester malheureux les 40 prochaines années.

        Le problème, n’est-il pas dans l’impatience ?

        Après mon avis est a vraiment très peu de poids…

        My not 2 cents but 0,5 cents 😉

      • Salut Christopher !

        je trouve justement que le fait que tu aies 22 ans et que tu donnes ton avis est important, surtout que j’apprécie tes réflexions. Ce n’est pas parce que je suis (un peu 😉 ) plus vieux que toi que je me permettrai d’être un donneur de leçon 🙂

        Si je n’ai pas critiqué l’exigence, c’est pour une simple raison : plus quelqu’un est exigeant et moins il est satisfait et donc moins heureux. Tu vas dans un resto et tu es déçu. Tu vas voir un film et tu es déçu. Dans les relations sentimentales, c’est le plus flagrant. J’ai un ami qui est très exigeant et il n’est jamais satisfait de ses histoires sentimentales. Il cherche toujours la perfection là où cela n’existe pas. C’est là où je parle d’acceptation de l’autre.

        Alors ça ne veut pas dire que l’autre ne changera pas ou ne fera pas d’efforts. Cela signifie juste qu’il faut savoir lacher prise sur certaines choses qui ne changeront pas ou peu. Sortir avec quelqu’un de désorganisé alors que tu es un maniaque du rangement, ce sont des engueulades assurées chaque semaine pendant toute la relation.

        Le bon sens voudrait que tu choisisses dès le début le bon profil. Mais si tu es un brin amoureux, tu ne le calcules pas, et tu sors avec la fille parce que tu lui trouves des qualités et tu ne voies pas ses défauts.

        Et je suis d’accord avec toi sur cette notion d’impatience. Mais lorsque tu as 35 ans, que tu es une femme et que tu veux un bébé, c’est quelque chose que tu ne maitrises pas forcément. Quand tu es dans la vingtaine, tu y vas au feeling, quand tu arrives dans la trentaine et que tu as enchainé des relations longues, tu commences à filtrer les histoires, ce qui te laisse au final moins d’opportunités. mais il reste le fait que tu es es pressé de rentrer dans le moule à cause du bébé souhaité, à cause de la pression des parents, etc…

        c’est un sujet complexe 🙂

        Bonne journée et à bientôt !

  • Guillaume Attewell dit :

    Sujet très intéressant. Je connais beaucoup de trentenaire qui n’y arrive toujours pas avec les femmes. A mon sens, il faut accepter qu’il y a eu un changement de paradigme relationnel. A ce titre, on ne se rencontre plus comme avant, et plus pour les même raisons. Je crois que beaucoup de trentenaire on des attentes qui ne correspond pas à l’état actuel du réel. Il y a un vrai travail sur soi a faire pour se recalibrer.

    Dans la réalité actuel, la relation à long terme n’est pas ce qu’on met en avant à la base. Trop d’attente sur ce terrain va créer automatiquement de la frustration. Je développe pas plus, ce serait trop long, mais y’a à dire !! 😉

  • Salut Sandrino,
    Je découvre ton blogue à l’instant et je partage aussi ton point de vue qui n’est au final qu’un constat objectif.
    Et que l’on soit d’accord ou non c’est une réalité.
    Trop de choix tue le choix, la raison est qu’aujourd’hui on tente de faire passer les relations comme un produit de consommation.
    C’est vrai les gens ne sont plus qu’à un clic du mec ou de la nana d’à côté, et l’idée d’avoir du choix nous conforte dans la non concession, « t’es pas comme je veux, pas grave j’irai en rayon prendre un autre produit », et il y a aussi le syndrome Walt Disney, car c’est difficile aussi pour une nana de faire le tri ou plutôt de débusquer un type qui a une réflexion porté sur autre chose que l’intellect, et qui sache ce qu’il veut.
    Et parlons-en de savoir ce que l’on veut. Si il y a autant de personnes à la dérive je pense que c’est en parti lié au fait que les gens ne savent pas ce qu’ils veulent : Avoir les avantages du célibat et d’une relation en couple le tout sans faire de concessions.
    Aller l’un envers l’autre sans faire fuir l’autre etc.
    Au lieu que les gens cherchent absolument la personne parfaite, ils devraient d’abord être parfait pour quelqu’un non?
    A+
    Jordane

    • Salut Jordane !

      Tout d’abord, merci pour ton commentaire 🙂

      Tu as totalement raison dans ta dernière remarque. On souhaite quelqu’un de « parfait » mais on ne se demande pas si on est parfait pour les autres. Car nous aussi on a des défauts et l’autre va devoir faire avec. Une relation passe par une acceptation des « défauts » (ou disons plutôt de ce qu’on apprécie peu) de l’autre mais cela doit aller dans les deux sens.

      Bonne journée !

      Sandrino

  • Salut Sandrino!
    Je vais enchaîner avec un petit commentaire qui va surement rejoindre les précédents sur certains points…

    Premièrement: les sites de rencontre. Tu cites adopteunmec, je pense aussi à Tinder.
    Comme Julien, je pense que c’est trop facile de rentrer en contact de cette façon. Zone de confort = pas d’évolution.Si une fille prend l’habitude faire QUE ça pour rencontrer des mecs, je crois qu’elle deviendra vite handicapées socialement. J’ai quelques fille de 30 ans en tête qui n’ont tout simplement aucune conversation et qui sont ennuyantes, en partie à cause du temps qu’elles passent derriere leurs ecrans. Je pense que les sites de rencontre ont tendance à rendre les gens inintéressant et à les couper de la réalité.

    La réalité est d’ailleurs plus stimulante! Aller aborder une fille qui nous plait (ou inversement) procure de l’adrénaline et est vraiment plus enrichissant à mon goût. J’ai testé tinder quand je suis rentré en France et j’ai quitté l’application 4 jours après. En fait j’avais vraiment l’impression de perdre mon temps.

    J’aimerais que les gens osent se parler dans la vraie vie. Parfois j’aborde des filles en soirées alors je passe pour un mec à fille auprès de ceux/celles qui ne me connaissent pas.
    Alors que ceux la se connectent tous les jours sur tinder pour essayer de « rencontrer » des gens.
    « Toi t’es un choppeur ca se voit ».
    « Je déteste les sites de rencontre en fait, je préfère la réalité. Je te trouvais mignonne alors je viens te parler. Ca va? »

    Et sinon je crois que la société nous pousse à consommer.
    Les gens veulent aussi nous faire croire avec les photos de couple sur facebook qu’ils vivent le grand amour. Facile de penser que l’herbe est + verte ailleurs. Il faut prendre un peu de recul par rapport à tout ça je pense.

    A + Sandrino 🙂

    • Salut Etienne et merci pour ton commentaire !

      Je suis d’accord avec toi. En même temps, nous ne sommes pas tous à l’aise dans la vie de tous les jours.

      On ne peut pas reprocher à quelqu’un de ne pas sortir de sa zone de confort. Quand on fait du dév perso, qu’on blogue, qu’on est un communicant, on ne se rend pas compte de l’effort de ce que cela peut être pour certaines personnes. En ce qui me concerne, je suis à l’aise maintenant mais ce n’était pas le cas quand j’avais 20 ans ! (oups, le vieux qui parle 😉

      Totalement d’accord avec toi sur les couples. On pense qu’ils sont plus heureux mais on ne voit pas toujours les problèmes rencontrés. En couple ou célibataire, chacun connait des problèmes !

      Et finalement, les sites de rencontre sont une aubaine pour les dragueurs de la vraie vie. Cela leur permet de se démarquer 😉

      A bientôt !

      Sandrino

  • « On ne peut pas reprocher à quelqu’un de ne pas sortir de sa zone de confort. » Non en effet, chacun fait ce qu’il peut comme il le peut. En revanche, il faut pas s’étonner que les choses n’avancent pas si on en sort pas ! 🙂 Et ça, on peut le dire, le discriminer (mais pas le juger)

  • Bonjour,
    qu’est ce qu’on peut dire des « quadragénaires »? si les trentenaires n’arrivent plus à trouver chaussure à leur pieds, pour les quadragénaires ce serait encore plus impossible.
    pas très rassurant comme constat. cela rend encore plus difficile la quête du grand amour.

    • Bonjour Rima,

      non, cela ne rend pas plus difficile la quête du grand amour. Il y a un simple changement d’attitude face au célibat et aux relations.

      Certaines personnes préfèrent rester célibataire que s’engager avec quelqu’un qui ne leurs conviennent pas.
      Ce constat est particulièrement vrai à Paris où vivent beaucoup de célibataires et où on peut faire beaucoup de rencontres.

      Cela ne signifie pas que tous les trentenaires ont du mal à trouver quelqu’un…

      Bonne journée.

      Sandrino

  • Bonsoir.

    J’ai 32 ans, je suis célibataire depuis 1 an et demi.

    Je suis tout à fait d’accord à toi sur ce que ressent et vis une celib trentenaire. Je me suis reconnu dans ton article.

    Moi j’ai réussi à surmonter la pression sociale… tout simplement en apprenant à être heureuse seule!
    Il suffit d’accomplir ses rêves plus ou moins fou… s’accomplir tout simplement. Le fait d’être épanouie fait taire ma famille et jalouser mes copines en couple avec des gosses…
    Et quelqu’un d’épanouie et sûr de soi attire l’autre et potentiellement l’amour.

  • Bonjour,

    Merci pour cet article. Je n'ai pas encore la trentaine ms c'est pour bientôt et je m'interroge aussi sur ce sujet.

    Je pense effectivement que la multitide de sites de rencontre donnent l'illusion aux hommes/femmes des générations Y, millenials et autres qu'il suffit de se connecter pour trouver un compagnon ce qui est un obstacle à l'engagement dans une relation à long terme.

    On a en effet tendance à croire que l'on trouvera toujours mieux ailleurs,  qu'il sufgit de se connecter pour trouver quelqu'un qui aura toutes les qualités que l'on recherche, avec qui la relation ira de soi. Or, cest une illusion : chaque personne à ses imperfections et pour construire une relation ds la durée il faut être prêt à l'accepter. Après avoir trouvé une personne qui nous correspond, qui a les même valeurs, objectifs de vie, il faut être prêt à faire un travail quotidien pour que la relation avance ds la durée car cette personne aura tt de même des défauts. Cela n'est pas synonyme d'une baisse de standard ms de la lucidité et une preuve d'engagement , d'amour.

    Malheureusement, comme l'amour est devenu un marché de surconsommation, au moindre problème rencontré en couple, certaines personnes de nos génétations préfèrent se reconnecter sur des applis en pensant trouver la personne parfte ou un coup d'un soir au lieu de s'investir ds une relation à long terme qui demande du travail.

    C'est ce qui rend compliqué la recherche d'un partenaire pour les 30aines de notre génération. Un partie de notre génération est restée sur le schéma relationnelle de la génération de nos parents classique: je veux rencontrer qqun, tomber amoureuse, me marier et avoir des enfants tandis que l'autre partie préfère papillonner sur les applis du genre tinder et autres sans jms s'engager ms juste pour profiter ce qui complique les choses, même ds une ville comme Paris ac 12 millions de célibataires…

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